D'Uligan, Nord des Maldives pour traverser le fameux golfe d'Aden jusqu'à Djibouti, puis rementer la Mer Rouge jusqu'au Canal de Suez
Notre ami l'épicier...
Et du frais pour partir
En solo depuis la Malaisie, Jacques me rejoint aux Maldives.
Pour commencer, si peu probable ... du près!
Et le régulateur d'allure Atoms, Tommy, qui donne des inquiétudes ...
Tommy, l'indispensable équipier, qui barre mieux que nous, sans état d'âme, sauf une poussée de fièvre de temps à autre?
Alors, vite le docteur!
... et le moteur aussi, jaloux peut être?
Pas le moment car ,
sans le savoir,
on va avancer au même rythme qu' un énorme anticyclone
9 jours de pétole dans le Golfe Arabique.....
.... et le gazole, malgré les réserves, vint à manquer !Alors, à l'école de la lenteur, cours de dessin!
Dans cette même école de la lenteur,
différentes activités :
baignade en piscine de 4000 mètres de fond,
cours de canotage,
mis en conserves
Et fournée de pain
ou petit déjeuner livré ....
Puis les "rencontres" du Golfe d'Aden...
Enfin Djibouti, 2300 milles en 31 jours,
Un record...!
Ecole de la lenteur acte 3
Un accueil vraiment francophile
Comme c'est ramadan, découverte de la rupture de jeune, au coucher du soleil,
.... chez la couturière !
pour la table, on improvise
en taxi
Un contact quotidien souvent par Inreach Iridium
C'est parti
pour remonter la mer Rouge
Détroit de Bab el Manded,
propulsés
comme un bouchon de champagne!
Le contraste à l'arrivée à Suakin, port ancien du Soudan
Ne croâsse pas trop fort, chérie, on ne sait jamais, depuis le temps...
Réparation du genaker chez le couturier des boubous
Escapade à Port Soudan,
calme malgré la présence conséquente de militaires
puis le marché
Purée de fèves,
caillé salé de lait chèvre,
excellentes galettes de pain frais,
concombres,
dates, citrons verts,
piments
Remontée par étape
avec arrêt dans les marsas,
sorte de fjords
qui font d'excellents abris quand ça souffle trop dans l'pif,
c'est à dire souvent...
A l'abri.... au mouillage, rafales 45 noeuds!
A la recherche de gazole au village à 10 km...
En attendant, on s'occupe
A l'abri du reef Elba
On attend les autorités...
La petite Zézette
apprend
son nouveau job de tanker
Et du coup, commence à avoir de drôles de fréquentations ...!
Une bonne petite bouffe au resto et Jacques rentre en Bretagne,
Je pars pour la remontée du Golfe de Suez en solo.
1ère étape, El Tor
Port de l'Egypte ancienne
sur la côte du Sinaï.
Repos avant la dernière étape vers le canal.
La remontée du Golfe de Suez:
pour seulement
120 milles à remonter
contre du NW 25/30 noeuds
Plus de deux fois la distance
et plus de trois fois la peine!
Très gentil accueil des autorités du Canal
Avec un panier repas ...
"C'est beau d'être connu" comme disais ma maman !
Je laisse La Matine amarrée à Ismailia, excellente étape intermédiaire sur le canal et encore une fois, très bien accueilli pour y laisser mon bateau.
Alors, à très bientôt en Méditerranée!
Et pour l'instant, l'article précédent
pour la préparation à Pangkor et la traversée vers les Maldives
par le tourmenté détroit de Malaka ...
ou commencer par le commencement :
Salut Leon, belles photos et incroyable aventure. Gros bisous depuis Ordino. Et envie d’avoir bientôt de tés nouvelles. Bonne continuation
RépondreSupprimerSalut Léon , extraordinaire odyssée que ta chère Sylou , fidèle et patiente Penelope à rendu possible merci du partage! Bernard
RépondreSupprimerQuelle aventure unique que ce tour du monde réalisé avec persévérance, humour et une infatigable curiosité. Félicitations également à la Matine et surtout à Sylviane, épouse patiente, routeuse attentive à la progression et aux difficultés rencontrées par son pirate de mari. Cette énorme étape fut éprouvante pour tous et toutes; le temps du repos bien mérité et des retrouvailles est venu. Profitez en bien. Patrick
RépondreSupprimerMagnifique odyssée qui s'achèvera lors de son arrivée en Bretagne. La Matine et son capitaine avez fait un joli exploit. Cela m'a donné quelques nostalgies du temps où je l'avais baptisé "Bel Orenoque". S'il fait une étape en Italie, Voudras-tu me prévenir afin que j'aille vous saluer. Amitiés.
RépondreSupprimerToujours émerveillé de cette sorte d'Odyssée. J'aime bien l'éloge de la lenteur, ça va bien avec ce concept de vagabondage.
RépondreSupprimerBonjour Léon. Je découvre à l'instant votre blog. Quel plaisir de le parcourir.
RépondreSupprimerImpressionnant parcours. Comme vous je voyage à la voile. Je viens vers vous pour vous dire qu'avant d'être des voyageurs, nous sommes voisins terrien. Je suis de Ferel . Au plaisir d'échanger avec vous.
Salutations marine.
Kawa capitaine du Yaka-Yalé
J’aime bien ce nom de bateau ; il me rappelle un oiseau très répandu, le Yaka faucon…
SupprimerAu plaisir !
Bonjour Léon, je me suis régalé à lire vos aventures. Votre périple est inspirant et original à plus d’un titre. Merci et bravo. Laurent
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